Leshabitants du village invoquaient gentiment Saint Hilaire sous le diminutif 'Ily'. Et comme tous les habitants parlaient le patois, ils disaient dans leur priĂšre 'Sanch Ily, priez pour nous'. Est nĂ© ainsi le nom de 'Saint ChĂ©ly'. (ville de Saint-ChĂ©ly-d'Apcher) Sur le territoire des Gabales, aprĂšs 535, saint Hilaire, Ă©vĂȘque de Mende. Matthieu 11, 28-30 En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » Venez Ă  moi » une parole libre, ouverte qui respecte la libertĂ© de l’autre
 et seulement aprĂšs vient la promesse respectueuse et moi, je vous procurerai le repos ». Et lĂ  encore, un profond respect de la libertĂ© de l’autre, le Seigneur ne va pas donner, mais il va aider Ă  ce que l’autre trouve
 Et c’est logique, puisque les personnes auxquelles il s’adresse sont celles qui peinent sous le fardeau
 mais cette venue Ă  lui Ă  quoi conduit-elle ? À quelle demande, Ă  quel commandement de sa part ? Prenez sur vous mon joug » VoilĂ  donc le commandement de la part de JĂ©sus prendre son joug, un mot Ă  bien entendre, le joug sert surtout Ă  orienter l’effort, et Ă  lui donner de pouvoir ĂȘtre efficace, la force musculaire de l’animal peut ĂȘtre mieux mobilisĂ© et l’effort est mieux orientĂ©, il permet souvent de pouvoir associer l’effort de deux animaux de traits. Il n’est pas donc de lui-mĂȘme signe d’asservissement. Il est plutĂŽt signe d’efficacitĂ© et d’économie d’effort
 Il a Ă©tĂ© rendu, Ă  vrai dire, signe d’asservissement par la volontĂ© du vainqueur. Prendre le joug du Seigneur, c’est suivre sa direction, c’est bien devenir son disciple, un disciple qui marche Ă  la suite de son maĂźtre qui lui-mĂȘme est en marche
 nous avons dĂ©jĂ  une indication de ce qu’il va dire pour justifier son commandement ou bien peut-ĂȘtre plus justement sa simple proposition
 Je suis doux et humble de cƓur» dans son commandement, dans sa proposition, JĂ©sus se dĂ©clare doux et humble de cƓur
 cette qualitĂ© du Seigneur le rend capable de vivre l’échange sereinement avec l’autre, de pouvoir articuler justement et la demande et le don. Pourquoi cela ? Parce que le Seigneur est ancrĂ© pleinement sur la source de la Vie son PĂšre, il reçoit pleinement ce qui lui est donnĂ©, Celui qui se donne Ă  Lui, et de ce don reçu il est capable de rendre, de se rendre lui-mĂȘme en retour, cet Ă©change est la source en lui de la douceur et de l’humilitĂ© qui lui donne de s’adresser justement aux autres, Ă  n’importe quel autre. Son joug conduit chacun de nous en toutes nos circonstances vers cette relation fondamentale recevoir Celui qui donne et qui se donne en tout, pour pouvoir se rendre soi-mĂȘme Ă  Lui pleinement. Vivant nous-mĂȘmes de cet Ă©change, nous pouvons alors vivre justement l’échange avec tous nos frĂšres, toutes nos sƓurs
PĂšre Jean-Luc Fabre[Source image Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous Dieune nous Ă©pargne pas la fatigue, comme la Bible nous le montre. Mais il soutient nos forces quand nous le lui demandons. Novembre, « Miz Du, Miz an anaon », « mois noir, mois des Ăąmes », disons-nous en breton. Si cela a, en Bretagne, des relents de lĂ©gendes de la mort, il n’en demeure pas moins que le mois de novembre est, pour l’Église
ï»żVenez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai ».Mt 11, 28 Le Sabbat a Ă©tĂ© fait pour l’homme et non l’homme pour le Sabbat © August Rush Tel fut l’appel de JĂ©sus Ă  ceux qui peinaient sous le joug de la loi, des commandements et des enseignements. Cet extrait de l’évangile se passe un jour de sabbat. Les disciples ont faim. Ils arrachent les Ă©pis du champ. Au regard des pharisiens, leur geste Ă©quivaut Ă  celui d’un moissonneur; or moissonner » est l’un des 39 activitĂ©s interdites le sabbat. Pour les pharisiens, la vie se rĂ©sume Ă  une question de faire ou de ne pas faire. Mathieu prĂ©sente JĂ©sus comme maĂźtre du Sabbat qui pose l’amour misĂ©ricordieux comme principe premier. C’est la misĂ©ricorde que je dĂ©sire, et non les sacrifices » v. 7. JĂ©sus libĂšre d’une approche religieuse » de la foi qui place les interdictions au centre et qui fait ployer les gens de foi sous le fardeau. Venez Ă  moi »; JĂ©sus recentre la loi des commandements Ă  l’essentiel Dieu et son dĂ©sir de rendre l’homme libre. Je te propose la vie et la mort » Dt 30, 15. C’est Ă  nous de choisir qui est au centre!
Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau et moi, je vous procurerai le repos” Matthieu 11, 28 Parfois, on se sent trop petit et trop

Évangile de JĂ©sus Christ selon saint Matthieu 11,28-30. En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » Merci Ă  Florence pour l'illustration ! Si vous souhaitez vous aussi participer au partage de la Parole de Dieu par vos talents d'illustrateurs, n'hĂ©sitez pas Ă  nous Ă©crire sur le formulaire de prends un instant pour mĂ©diter toutes ces choses dans mon cƓur cf Luc 2,1927 commentairesQue vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi rĂ©pondre Ă  chacun comme il faut. Col 4 6loaderPrier avec l'Évangile du jour en image

Lisez« Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau » de Pierre Descouvemont disponible chez Rakuten Kobo. Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă  vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă  la misĂšre d' Évangile selon saint Matthieu chapitre 11, versets 25-30 prĂ©cĂ©dente suivante Les petits, c’est nous. Il faut commencer par lĂ . Puisque l’Évangile nous a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©, et que l’Évangile est rĂ©vĂ©lĂ© aux petits, alors, les petits », c’est nous. Les petits ce sont ceux qui ne sont ni sages ni savants. C’est-Ă -dire ceux qui ne savent » pas. Mais il est bon que nous ne sachions pas, car aux sages et aux savants, la RĂ©vĂ©lation reste cachĂ©e. C’est quoi le problĂšme des savants ? Le danger, ce n’est pas la science, bien sĂ»r, ni la recherche ou l’intelligence. Le danger c’est celui de l’idolĂątrie, de l’enfermement du rĂ©el dans des dĂ©finitions, des dogmes, des Lois, des pratiques, autant de choses qui sont certainement des formulations nĂ©cessaires, mais auxquelles il ne faudrait jamais s’arrĂȘter. Le danger, c’est l’oubli de notre ignorance fondamentale et pourtant bonne puisqu’elle ouvre nos oreilles. En effet, celui qui ne sait pas Ă©coute, car il a besoin d’apprendre. Mais celui qui croit savoir, aveuglĂ© par ses certitudes, reste sourd Ă  la nouveautĂ© de Dieu et Ă  la complexitĂ© du monde. Il n’est pourtant pas question de se rĂ©signer au mystĂšre » et encore moins de laisser les autres savoir » Ă  notre place. Nous ne sommes pas idiots, nous sommes justes ignorants. Et cette ignorance de Dieu, du monde et de nous-mĂȘmes, aussi, bien souvent, nous invite Ă  l’humilitĂ©. Mais cela ne nous empĂȘche pas d’ĂȘtre curieux. Humblement Ă  l’écoute de l’Esprit, Ă  l’écoute du monde, l’autre pourra se rĂ©vĂ©ler, non pas tel que nous croyons le connaĂźtre, mais tel qu’il est vraiment sans cesse Ă  dĂ©couvrir. Alors, qu’attendons-nous pour ouvrir nos oreilles, discerner, interprĂ©ter, rĂ©flĂ©chir, douter ? Avons-nous peur de nous perdre ? C’est pourtant sur ce chemin-lĂ * que la vĂ©ritĂ© nous prĂ©cĂšde. *Évangile selon saint Luc ch 24, v 13-33
\nvous tous qui peinez sous le fardeau
VenezĂ  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos (Mt 11, 28) 185 intercesseurs prient pour cette intention. ProposĂ©e Il y a 2 semaines. Equipe notre dame Chartres (Chartres, France) Seigneur je te confie l'Ă©quipe Notre-Dame Chartres. Cette Ă©quipe vit des moments difficiles. De plus la communication est Message du Pape François Ă  l’occasion de la XXVIIIE JournĂ©e Mondiale du Malade 2020 – 11 fĂ©vrier 2020 Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 Chers frĂšres et sƓurs, 1. Les paroles que JĂ©sus prononce Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 indiquent le mystĂ©rieux chemin de la grĂące qui se rĂ©vĂšle aux simples et qui offre un soulagement Ă  ceux qui peinent et qui sont fatiguĂ©s. Ces mots expriment la solidaritĂ© du Fils de l’homme, JĂ©sus-Christ, face Ă  une humanitĂ© affligĂ©e et souffrante. Que de personnes souffrent dans leur corps et dans leur esprit ! Il appelle tous les hommes Ă  aller vers lui, venez Ă  moi », et il leur promet soulagement et repos. Quand JĂ©sus dit cela, il a face Ă  lui les personnes qu’il rencontre chaque jour sur les routes de GalilĂ©e tant de gens simples, pauvres, malades, pĂ©cheurs, exclus par le poids de la loi et du systĂšme social oppressif
 Ces personnes l’ont sans cesse poursuivi pour Ă©couter sa parole – une parole qui donnait l’espĂ©rance » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, JĂ©sus adresse son invitation aux malades et aux opprimĂ©s, aux pauvres qui savent bien qu’ils dĂ©pendent entiĂšrement de Dieu et qui, blessĂ©s par le poids des Ă©preuves, ont besoin de guĂ©rison. JĂ©sus-Christ, n’impose pas de lois Ă  ceux qui vivent l’angoisse de leur propre situation de fragilitĂ©, de douleur et de faiblesse, mais il offre sa misĂ©ricorde, c’est-Ă -dire sa personne qui les rĂ©conforte. JĂ©sus regarde l’humanitĂ© blessĂ©e. Lui, il a des yeux qui voient, qui s’aperçoivent, car ils regardent en profondeur. Il ne s’agit pas d’un regard rapide et indiffĂ©rent, mais qui s’attarde et accueille tout l’homme, tout homme, dans sa condition de santĂ©, sans Ă©carter personne, mais en invitant chacun Ă  entrer dans sa vie pour faire une expĂ©rience de tendresse. 2. Pourquoi JĂ©sus-Christ nourrit-il ces sentiments ? Parce qu’il s’est fait faible lui-mĂȘme, faisant ainsi l’expĂ©rience de la souffrance humaine et recevant Ă  son tour le rĂ©confort du PĂšre. De fait, seul celui qui fait personnellement cette expĂ©rience saura ĂȘtre un rĂ©confort pour l’autre. Il existe diverses formes graves de souffrance les maladies incurables et chroniques, les pathologies psychiques, celles qui nĂ©cessitent de la rééducation ou des soins palliatifs, les divers handicaps, les maladies de l’enfance et de la vieillesse
 Dans ces circonstances, on ressent parfois un manque d’humanitĂ© et il apparaĂźt alors nĂ©cessaire de personnaliser l’approche Ă  l’égard du malade, non plus seulement en soignant mais aussi en prenant soin, pour une guĂ©rison humaine intĂ©grale. Lorsqu’elle est malade, la personne ressent que, non seulement son intĂ©gritĂ© physique est compromise, mais aussi ses dimensions relationnelle, intellectuelle, affective et spirituelle. Elle attend donc, en plus des thĂ©rapies, un soutien, une sollicitude, une attention
 en somme, de l’amour. En outre, aux cĂŽtĂ©s du malade, il y a une famille qui souffre et qui demande, elle aussi, rĂ©confort et proximitĂ©. 3. Chers frĂšres et sƓurs malades, la maladie vous place d’une façon toute particuliĂšre parmi ceux qui sont fatiguĂ©s et opprimĂ©s », ceux qui attirent le regard et le cƓur de JĂ©sus. C’est de lĂ  que vient la lumiĂšre pour vos moments d’obscuritĂ©, l’espĂ©rance pour votre rĂ©confort. Il vous invite Ă  aller Ă  lui Venez ». En lui, en effet, les inquiĂ©tudes et les interrogations qui surgissent en vous, dans cette “ nuit ” du corps et de l’esprit, trouveront de la force pour ĂȘtre traversĂ©es. Certes, le Christ ne nous a pas donnĂ© de recettes, mais, par sa passion, sa mort et sa rĂ©surrection, il nous libĂšre de l’oppression du mal. Dans votre condition, vous avez certainement besoin d’un lieu pour vous rĂ©conforter. L’Église veut ĂȘtre toujours davantage et toujours mieux l’“ auberge ” du bon Samaritain qu’est le Christ cf. Lc 10, 34, Ă  savoir la maison oĂč vous pouvez trouver sa grĂące, qui s’exprime par la familiaritĂ©, l’accueil, le soulagement. Dans cette maison, vous pourrez rencontrer des personnes qui, guĂ©ries par la misĂ©ricorde de Dieu dans leur fragilitĂ©, sauront vous aider Ă  porter la croix en faisant de leurs propres blessures des ouvertures par lesquelles regarder l’horizon au-delĂ  de la maladie et recevoir la lumiĂšre et l’air pour votre vie. C’est dans cette Ɠuvre de rĂ©confort envers les frĂšres malades que se situe le service du personnel de santĂ©, mĂ©decin, infirmiers, agents sanitaires et administratifs, aides-soignants et volontaires qui, par leur compĂ©tence, agissent en faisant sentir la prĂ©sence du Christ, qui offre sa consolation et se charge de la personne malade en soignant ses blessures. Mais, eux aussi, sont des hommes et des femmes, avec leurs fragilitĂ©s et leurs maladies. Pour eux, en particulier, s’applique ce propos selon lequel une fois que nous avons reçu le repos et le rĂ©confort du Christ, nous sommes appelĂ©s Ă  notre tour Ă  devenir repos et rĂ©confort pour nos frĂšres, avec une attitude douce et humble, Ă  l’imitation du MaĂźtre » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. 4. Chers agents du monde de la santĂ©, toute intervention diagnostique, prĂ©ventive, thĂ©rapeutique, de recherche, de soin et de rééducation, s’adresse Ă  la personne malade, oĂč le substantif “ personne ” prime toujours sur l’adjectif “ malade ”. Par consĂ©quent, votre action doit tendre constamment Ă  la dignitĂ© et Ă  la vie de la personne, sans jamais cĂ©der Ă  des actes de nature euthanasiste, de suicide assistĂ© ou de suppression de la vie, pas mĂȘme quand le stade de la maladie est irrĂ©versible. Dans l’expĂ©rience de la limite et mĂȘme de l’échec possible de la science mĂ©dicale face Ă  des cas cliniques toujours plus problĂ©matiques et Ă  des diagnostics funestes, vous ĂȘtes appelĂ©s Ă  vous ouvrir Ă  la dimension transcendante, qui peut vous offrir le sens plĂ©nier de votre profession. Rappelons que la vie est sacrĂ©e, qu’elle appartient Ă  Dieu et, par consĂ©quent, qu’elle est inviolable et qu’on ne peut en disposer cf. Instr. Donum vitae, n. 5 ; Enc. Evangelium vitae, n. 29-53. La vie doit ĂȘtre accueillie, protĂ©gĂ©e, respectĂ©e et servie, de la naissance Ă  la mort c’est Ă  la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, l’objection de conscience est pour vous le choix nĂ©cessaire pour rester cohĂ©rents au “ oui ” Ă  la vie et Ă  la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animĂ© par la charitĂ© chrĂ©tienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain le droit Ă  la vie. Quand vous ne pouvez pas guĂ©rir, vous pouvez toujours soigner grĂące Ă  des gestes et Ă  des procĂ©dures qui apportent soulagement et rĂ©confort au malade. HĂ©las, dans certains contextes de guerre et de conflit violent, le personnel de santĂ© et les structures qui s’occupent de l’accueil et de l’assistance des malades sont pris pour cibles. Dans certaines zones, le pouvoir politique aussi prĂ©tend manipuler l’assistance mĂ©dicale en sa faveur, limitant la juste autonomie de la profession sanitaire. En rĂ©alitĂ©, attaquer ceux qui se consacrent au service des membres souffrants du corps social ne profite Ă  personne. 5. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, je pense aux nombreux frĂšres et sƓurs qui, dans le monde entier, n’ont pas la possibilitĂ© d’accĂ©der aux soins, parce qu’ils vivent dans la pauvretĂ©. Je m’adresse donc aux institutions sanitaires et aux Gouvernants de tous les pays du monde, afin qu’ils ne nĂ©gligent pas la justice sociale au profit de l’aspect Ă©conomique. Je souhaite qu’en conjuguant les principes de solidaritĂ© et de subsidiaritĂ©, il soit possible de coopĂ©rer pour que tous aient accĂšs aux soins appropriĂ©s pour sauvegarder et retrouver la santĂ©. Je remercie de tout cƓur les volontaires qui se mettent au service des malades, en allant souvent supplĂ©er les carences structurelles et en reflĂ©tant, par des gestes de tendresse et de proximitĂ©, l’image du Christ bon Samaritain. Je confie Ă  la Vierge Marie, SantĂ© des malades, toutes les personnes qui portent le poids de la maladie, avec leurs familles, ainsi que tous les personnels de santĂ©. Je vous assure que je suis proche de vous tous dans la priĂšre et je vous envoie de grand cƓur la BĂ©nĂ©diction apostolique. Du Vatican, le 3 janvier 2020, MĂ©moire du Saint Nom de JĂ©sus. François 32 Musique: FrĂšre Jean-Baptiste de la Sainte Famille, o.c.d.300 choristes dirigĂ©s par Charles Wattebled, Les Chantres de ParisEglise Saint-Sulpice, ParisTous d Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Mt 11 Demeurer en Lui pour qu’Il demeure en nous et nous porte dans le poids des jours 
 Évangile de JĂ©sus-Christ selon saint Matthieu 11,25-30. En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit PĂšre, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as cachĂ© aux sages et aux savants, tu l’as rĂ©vĂ©lĂ© aux tout-petits. Oui, PĂšre, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout m’a Ă©tĂ© remis par mon PĂšre ; personne ne connaĂźt le Fils, sinon le PĂšre, et personne ne connaĂźt le PĂšre, sinon le Fils, et celui Ă  qui le Fils veut le rĂ©vĂ©ler. » Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » SolennitĂ© du SacrĂ© Coeur de JĂ©sus – Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris
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Vousle savez, au coeur de la Bible, se trouve un livre de priĂšres et de chants, appelĂ© ‘’les Psaumes’’ 521 likes · 4 talking about this De l'abstrait semblable au figuratif ou du figuratif proche de l'abstrait a chacun son pronostic ( Psaume 149:9) 3) A l'instant mĂȘme , j'envoie un terrible rĂ©giment d'anges contre tous mes ennemis qui se tiennent contre mes

Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ ; Tournez-vos cƓurs vers sa lumiĂšre, source de vie Ă©ternelle." Notre Dieu nous rejoint au plus profond de notre humanitĂ©, dans nos H45v63.