Ăvangile de JĂ©sus Christ selon saint Matthieu 11,28-30. En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole Venez Ă moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cĆur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile Ă porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » Merci Ă Florence pour l'illustration ! Si vous souhaitez vous aussi participer au partage de la Parole de Dieu par vos talents d'illustrateurs, n'hĂ©sitez pas Ă nous Ă©crire sur le formulaire de prends un instant pour mĂ©diter toutes ces choses dans mon cĆur cf Luc 2,1927 commentairesQue vos paroles soient toujours bienveillantes, quâelles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi rĂ©pondre Ă chacun comme il faut. Col 4 6loaderPrier avec l'Ăvangile du jour en image
Lisez« Venez Ă moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau » de Pierre Descouvemont disponible chez Rakuten Kobo. Il y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible Ă la misĂšre d' Ăvangile selon saint Matthieu chapitre 11, versets 25-30 prĂ©cĂ©dente suivante Les petits, câest nous. Il faut commencer par lĂ . Puisque lâĂvangile nous a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©, et que lâĂvangile est rĂ©vĂ©lĂ© aux petits, alors, les petits », câest nous. Les petits ce sont ceux qui ne sont ni sages ni savants. Câest-Ă -dire ceux qui ne savent » pas. Mais il est bon que nous ne sachions pas, car aux sages et aux savants, la RĂ©vĂ©lation reste cachĂ©e. Câest quoi le problĂšme des savants ? Le danger, ce nâest pas la science, bien sĂ»r, ni la recherche ou lâintelligence. Le danger câest celui de lâidolĂątrie, de lâenfermement du rĂ©el dans des dĂ©finitions, des dogmes, des Lois, des pratiques, autant de choses qui sont certainement des formulations nĂ©cessaires, mais auxquelles il ne faudrait jamais sâarrĂȘter. Le danger, câest lâoubli de notre ignorance fondamentale et pourtant bonne puisquâelle ouvre nos oreilles. En effet, celui qui ne sait pas Ă©coute, car il a besoin dâapprendre. Mais celui qui croit savoir, aveuglĂ© par ses certitudes, reste sourd Ă la nouveautĂ© de Dieu et Ă la complexitĂ© du monde. Il nâest pourtant pas question de se rĂ©signer au mystĂšre » et encore moins de laisser les autres savoir » Ă notre place. Nous ne sommes pas idiots, nous sommes justes ignorants. Et cette ignorance de Dieu, du monde et de nous-mĂȘmes, aussi, bien souvent, nous invite Ă lâhumilitĂ©. Mais cela ne nous empĂȘche pas dâĂȘtre curieux. Humblement Ă lâĂ©coute de lâEsprit, Ă lâĂ©coute du monde, lâautre pourra se rĂ©vĂ©ler, non pas tel que nous croyons le connaĂźtre, mais tel quâil est vraiment sans cesse Ă dĂ©couvrir. Alors, quâattendons-nous pour ouvrir nos oreilles, discerner, interprĂ©ter, rĂ©flĂ©chir, douter ? Avons-nous peur de nous perdre ? Câest pourtant sur ce chemin-lĂ * que la vĂ©ritĂ© nous prĂ©cĂšde. *Ăvangile selon saint Luc ch 24, v 13-33 VenezĂ moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos (Mt 11, 28) 185 intercesseurs prient pour cette intention. ProposĂ©e Il y a 2 semaines. Equipe notre dame Chartres (Chartres, France) Seigneur je te confie l'Ă©quipe Notre-Dame Chartres. Cette Ă©quipe vit des moments difficiles. De plus la communication est Message du Pape François Ă lâoccasion de la XXVIIIE JournĂ©e Mondiale du Malade 2020 â 11 fĂ©vrier 2020 Venez Ă moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 Chers frĂšres et sĆurs, 1. Les paroles que JĂ©sus prononce Venez Ă moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » Mt 11, 28 indiquent le mystĂ©rieux chemin de la grĂące qui se rĂ©vĂšle aux simples et qui offre un soulagement Ă ceux qui peinent et qui sont fatiguĂ©s. Ces mots expriment la solidaritĂ© du Fils de lâhomme, JĂ©sus-Christ, face Ă une humanitĂ© affligĂ©e et souffrante. Que de personnes souffrent dans leur corps et dans leur esprit ! Il appelle tous les hommes Ă aller vers lui, venez Ă moi », et il leur promet soulagement et repos. Quand JĂ©sus dit cela, il a face Ă lui les personnes quâil rencontre chaque jour sur les routes de GalilĂ©e tant de gens simples, pauvres, malades, pĂ©cheurs, exclus par le poids de la loi et du systĂšme social oppressif⊠Ces personnes lâont sans cesse poursuivi pour Ă©couter sa parole â une parole qui donnait lâespĂ©rance » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, JĂ©sus adresse son invitation aux malades et aux opprimĂ©s, aux pauvres qui savent bien quâils dĂ©pendent entiĂšrement de Dieu et qui, blessĂ©s par le poids des Ă©preuves, ont besoin de guĂ©rison. JĂ©sus-Christ, nâimpose pas de lois Ă ceux qui vivent lâangoisse de leur propre situation de fragilitĂ©, de douleur et de faiblesse, mais il offre sa misĂ©ricorde, câest-Ă -dire sa personne qui les rĂ©conforte. JĂ©sus regarde lâhumanitĂ© blessĂ©e. Lui, il a des yeux qui voient, qui sâaperçoivent, car ils regardent en profondeur. Il ne sâagit pas dâun regard rapide et indiffĂ©rent, mais qui sâattarde et accueille tout lâhomme, tout homme, dans sa condition de santĂ©, sans Ă©carter personne, mais en invitant chacun Ă entrer dans sa vie pour faire une expĂ©rience de tendresse. 2. Pourquoi JĂ©sus-Christ nourrit-il ces sentiments ? Parce quâil sâest fait faible lui-mĂȘme, faisant ainsi lâexpĂ©rience de la souffrance humaine et recevant Ă son tour le rĂ©confort du PĂšre. De fait, seul celui qui fait personnellement cette expĂ©rience saura ĂȘtre un rĂ©confort pour lâautre. Il existe diverses formes graves de souffrance les maladies incurables et chroniques, les pathologies psychiques, celles qui nĂ©cessitent de la rééducation ou des soins palliatifs, les divers handicaps, les maladies de lâenfance et de la vieillesse⊠Dans ces circonstances, on ressent parfois un manque dâhumanitĂ© et il apparaĂźt alors nĂ©cessaire de personnaliser lâapproche Ă lâĂ©gard du malade, non plus seulement en soignant mais aussi en prenant soin, pour une guĂ©rison humaine intĂ©grale. Lorsquâelle est malade, la personne ressent que, non seulement son intĂ©gritĂ© physique est compromise, mais aussi ses dimensions relationnelle, intellectuelle, affective et spirituelle. Elle attend donc, en plus des thĂ©rapies, un soutien, une sollicitude, une attention⊠en somme, de lâamour. En outre, aux cĂŽtĂ©s du malade, il y a une famille qui souffre et qui demande, elle aussi, rĂ©confort et proximitĂ©. 3. Chers frĂšres et sĆurs malades, la maladie vous place dâune façon toute particuliĂšre parmi ceux qui sont fatiguĂ©s et opprimĂ©s », ceux qui attirent le regard et le cĆur de JĂ©sus. Câest de lĂ que vient la lumiĂšre pour vos moments dâobscuritĂ©, lâespĂ©rance pour votre rĂ©confort. Il vous invite Ă aller Ă lui Venez ». En lui, en effet, les inquiĂ©tudes et les interrogations qui surgissent en vous, dans cette â nuit â du corps et de lâesprit, trouveront de la force pour ĂȘtre traversĂ©es. Certes, le Christ ne nous a pas donnĂ© de recettes, mais, par sa passion, sa mort et sa rĂ©surrection, il nous libĂšre de lâoppression du mal. Dans votre condition, vous avez certainement besoin dâun lieu pour vous rĂ©conforter. LâĂglise veut ĂȘtre toujours davantage et toujours mieux lââ auberge â du bon Samaritain quâest le Christ cf. Lc 10, 34, Ă savoir la maison oĂč vous pouvez trouver sa grĂące, qui sâexprime par la familiaritĂ©, lâaccueil, le soulagement. Dans cette maison, vous pourrez rencontrer des personnes qui, guĂ©ries par la misĂ©ricorde de Dieu dans leur fragilitĂ©, sauront vous aider Ă porter la croix en faisant de leurs propres blessures des ouvertures par lesquelles regarder lâhorizon au-delĂ de la maladie et recevoir la lumiĂšre et lâair pour votre vie. Câest dans cette Ćuvre de rĂ©confort envers les frĂšres malades que se situe le service du personnel de santĂ©, mĂ©decin, infirmiers, agents sanitaires et administratifs, aides-soignants et volontaires qui, par leur compĂ©tence, agissent en faisant sentir la prĂ©sence du Christ, qui offre sa consolation et se charge de la personne malade en soignant ses blessures. Mais, eux aussi, sont des hommes et des femmes, avec leurs fragilitĂ©s et leurs maladies. Pour eux, en particulier, sâapplique ce propos selon lequel une fois que nous avons reçu le repos et le rĂ©confort du Christ, nous sommes appelĂ©s Ă notre tour Ă devenir repos et rĂ©confort pour nos frĂšres, avec une attitude douce et humble, Ă lâimitation du MaĂźtre » AngĂ©lus, 6 juillet 2014. 4. Chers agents du monde de la santĂ©, toute intervention diagnostique, prĂ©ventive, thĂ©rapeutique, de recherche, de soin et de rééducation, sâadresse Ă la personne malade, oĂč le substantif â personne â prime toujours sur lâadjectif â malade â. Par consĂ©quent, votre action doit tendre constamment Ă la dignitĂ© et Ă la vie de la personne, sans jamais cĂ©der Ă des actes de nature euthanasiste, de suicide assistĂ© ou de suppression de la vie, pas mĂȘme quand le stade de la maladie est irrĂ©versible. Dans lâexpĂ©rience de la limite et mĂȘme de lâĂ©chec possible de la science mĂ©dicale face Ă des cas cliniques toujours plus problĂ©matiques et Ă des diagnostics funestes, vous ĂȘtes appelĂ©s Ă vous ouvrir Ă la dimension transcendante, qui peut vous offrir le sens plĂ©nier de votre profession. Rappelons que la vie est sacrĂ©e, quâelle appartient Ă Dieu et, par consĂ©quent, quâelle est inviolable et quâon ne peut en disposer cf. Instr. Donum vitae, n. 5 ; Enc. Evangelium vitae, n. 29-53. La vie doit ĂȘtre accueillie, protĂ©gĂ©e, respectĂ©e et servie, de la naissance Ă la mort câest Ă la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, lâobjection de conscience est pour vous le choix nĂ©cessaire pour rester cohĂ©rents au â oui â Ă la vie et Ă la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animĂ© par la charitĂ© chrĂ©tienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain le droit Ă la vie. Quand vous ne pouvez pas guĂ©rir, vous pouvez toujours soigner grĂące Ă des gestes et Ă des procĂ©dures qui apportent soulagement et rĂ©confort au malade. HĂ©las, dans certains contextes de guerre et de conflit violent, le personnel de santĂ© et les structures qui sâoccupent de lâaccueil et de lâassistance des malades sont pris pour cibles. Dans certaines zones, le pouvoir politique aussi prĂ©tend manipuler lâassistance mĂ©dicale en sa faveur, limitant la juste autonomie de la profession sanitaire. En rĂ©alitĂ©, attaquer ceux qui se consacrent au service des membres souffrants du corps social ne profite Ă personne. 5. En cette XXVIIIĂšme JournĂ©e Mondiale du Malade, je pense aux nombreux frĂšres et sĆurs qui, dans le monde entier, nâont pas la possibilitĂ© dâaccĂ©der aux soins, parce quâils vivent dans la pauvretĂ©. Je mâadresse donc aux institutions sanitaires et aux Gouvernants de tous les pays du monde, afin quâils ne nĂ©gligent pas la justice sociale au profit de lâaspect Ă©conomique. Je souhaite quâen conjuguant les principes de solidaritĂ© et de subsidiaritĂ©, il soit possible de coopĂ©rer pour que tous aient accĂšs aux soins appropriĂ©s pour sauvegarder et retrouver la santĂ©. Je remercie de tout cĆur les volontaires qui se mettent au service des malades, en allant souvent supplĂ©er les carences structurelles et en reflĂ©tant, par des gestes de tendresse et de proximitĂ©, lâimage du Christ bon Samaritain. Je confie Ă la Vierge Marie, SantĂ© des malades, toutes les personnes qui portent le poids de la maladie, avec leurs familles, ainsi que tous les personnels de santĂ©. Je vous assure que je suis proche de vous tous dans la priĂšre et je vous envoie de grand cĆur la BĂ©nĂ©diction apostolique. Du Vatican, le 3 janvier 2020, MĂ©moire du Saint Nom de JĂ©sus. François 32 Musique: FrĂšre Jean-Baptiste de la Sainte Famille, o.c.d.300 choristes dirigĂ©s par Charles Wattebled, Les Chantres de ParisEglise Saint-Sulpice, ParisTous d Venez Ă moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Mt 11 Demeurer en Lui pour quâIl demeure en nous et nous porte dans le poids des jours ⊠Ăvangile de JĂ©sus-Christ selon saint Matthieu 11,25-30. En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit PĂšre, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as cachĂ© aux sages et aux savants, tu lâas rĂ©vĂ©lĂ© aux tout-petits. Oui, PĂšre, tu lâas voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout mâa Ă©tĂ© remis par mon PĂšre ; personne ne connaĂźt le Fils, sinon le PĂšre, et personne ne connaĂźt le PĂšre, sinon le Fils, et celui Ă qui le Fils veut le rĂ©vĂ©ler. » Venez Ă moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cĆur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » SolennitĂ© du SacrĂ© Coeur de JĂ©sus â Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible â © AELF, ParisVousle savez, au coeur de la Bible, se trouve un livre de priĂšres et de chants, appelĂ© ââles Psaumesââ 521 likes · 4 talking about this De l'abstrait semblable au figuratif ou du figuratif proche de l'abstrait a chacun son pronostic ( Psaume 149:9) 3) A l'instant mĂȘme , j'envoie un terrible rĂ©giment d'anges contre tous mes ennemis qui se tiennent contre mes
Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ ; Tournez-vos cĆurs vers sa lumiĂšre, source de vie Ă©ternelle." Notre Dieu nous rejoint au plus profond de notre humanitĂ©, dans nos H45v63.